Le concept du soi a permis de penser l’organisme sous la catégorie de l’identité pour rendre compte de l’unité et de l’efficacité du système de défense de son intégrité. Le dualisme du soi et du non- soi pose qu’un organisme se défend par une réaction immunitaire contre un élément externe (« non-soi») en épargnant les entités reconnues comme siennes (« soi »).
Projets
Le modèle « soi/non-soi » repose sur le raisonnement par analogie décrié de longue date par les épistémologues, au même titre que le recours à des métaphores empruntées à la vie sociale qui conduisent à penser l’auto-normativité du corps sur le modèle d’une communauté de pathogènes en compétition (pathogènes tolérés par le « soi » en tant qu’entités endogènes) mais suffisamment unifiés pour lutter contre des agents extérieurs potentiellement agresseurs.
Volet « Le microenvironnement de la moelle osseuse : niches érythroïdes et îlot érythroblastique »
Volet « Le rôle des protéines de surface »
Volet « La dysérythropoïèse dans la drépanocytose »
Orientation « L’impact de la dysérythropoïèse sur les niches érythroïdes »
Notre recherche en transfusion est axée sur l’amélioration des produits transfusionnels, au premier plan desquels se situe le GR.