"Death and the societies of Antiquity"

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Ce projet s’attache à étudier l’évolution des pratiques et des populations face à la mort dans l’Antiquité à l’échelle internationale (des âges des Métaux jusqu’aux contextes gréco-romains) :

  • Rapport entre l’occupation des sols et le cadre/droit foncier et l’installation des occupations funéraires
  • Expression de l’identité sociale dans la mort
  • Pluralité de cultures et de communauté dans la perception de la mort, du corps et de de la sépulture
  • Réorganisations territoriales et pratiques funéraires
  • Relations entre les catégories de la population dans l’expression des pratiques funéraires
  • Les populations : constitutions, évolution, pluralités.

Au-delà du cadre diachronique, c’est un contexte géographique étendu qui sera pris en compte (des îles britanniques aux portes de l’orient, et de la Scandinavie à la Méditerranée), et qui permettra d’appréhender les variations et pluralités de situations en fonction de la zone/culture étudiée (l’ensemble de l’arc celtique comme les contextes grecs et romains).

A partir de 2023, il fera suite au projet amorce MorAnt, soutenu par l’Institut ARKAIA (2020-2022). Des collaborations sont donc déjà effectives avec des institutions et chercheurs au Royaume-Uni, en Suède, en Grèce, en Italie, en Roumanie et en Egypte. De plus, il intègre un volet d’enseignement qui vise à la diffusion des méthodes et bonnes pratiques de l’achéothanatologie, en particulier sur le terrain, et qui prend la suite du projet The archaeology of Death, soutenu par l’alliance CIVIS, impliquant 11 universités européennes.
 

Axes de recherche

Type de financement

Autre